Les autres ouvrages :

"Ici bat mon pays", Paragraphes littéraires de Paris, 1971

"La raffinerie baladeuse", Maspéro, 1972

"Massacre à Chambéry", Oswald, 1973

sont épuisés... comme l'auteur à la fin de cette page !

 

La première version de Bagnards en cavale étant épuisée, une autre publication, revue et corrigée, en poche ( au prix de 12€ ) sera disponible en avril 2019 aux éditions les Montagnes Noires (Gourin)

Première parution en juin 2005

16,50 euros

éditions Keltia Graphic (Spézet-29)couv.bagnards

Dans "Les bagnards du canal de Nantes à Brest" (Keltia Graphic 2003, plus de 21.000 exemplaires vendus), Jean Kergrist dressait, à partir de documents d'archive, le cadre géographique et historique du fameux camp de Glomel. Entre 1823 et 1832, des condamnés militaires (objecteurs, fortes têtes, déserteurs, réfractaires, retardataires) creusaient, sur cette commune, la "grande tranchée" du canal de Nantes à Brest, reliant les bassins versants de l'Aulne et du Blavet, aux confins des Montagnes Noires et des Monts d'Arrée.

Il y manquait le témoignage de ces bagnards eux-mêmes, introuvable aux archives.
Pour combler cette lacune, l'auteur, se glissant aujourd'hui dans la peau d'un de ces réfractaires, nous décrit au jour le jour, les lieux, les intrigues et les péripéties de cette vie au camp de Glomel, ponctuée par de nombreuses évasions et décès. Ce "journal d'un bagnard" s'inspire au plus près des données historiques.  Tous les noms cités sont authentiques.


"Jean Kergrist a fait un choix judicieux en adoptant le journal. C'est la forme narrative la mieux adaptée à son projet...Il en ressort une grande humanité qui submerge le lecteur." Marie Josée Christien, revue Spered Gouez N°12 octobre 2005.

"Mieux qu'une docu-fiction, cette oeuvre s'apparente à ceux qui construisent de toutes pièces la copie d'un vieux gréement dont ils n'ont que les plans... Une belle oeuvre d'un point de vue à la fois littéraire et historique". Patrice Verdure, Le Cri de l'Ormeau octobre 2005

"Il se passe toujours quelque chose dans le camp de Glomel : tentatives d'évasions, vol de pécules durement amassés, intimidations, maladies, révoltes de prisonniers, petits trafics...autant d'évènements et d'incidents qui relancent constamment le récit. Outre la vie quotidienne du camp, c'est aussi toute une vision de l'existence et de la nature humaine qui se dessine à travers ce roman" Yves Loisel ,Télégramme, août 2005

"Le nouveau Kergrist est arrivé ! Cette fois c'est dans la peau d'un bagnard du camp de Glomel qu'il se glisse le temps de ce livre...émotions garanties vu les péripéties de cette épopée locale. revue Eau et Rivières, été 2005.

Paru en septembre 2004 (épuisé)

barouf

Veaux, vaches, cochons, préfets, raveurs, échangistes
aménagent le territoire, balayant les amants de Vérone.
Les incinérateurs crachent leur nuit des longues cheminées.
Les aveugles ne sont pas ceux qu'on croit.
À travers le barouf (de l'italien dialectal "baroufa" : "dispute"),
le vieux monde s'éclate, laissant deviner les constructions
nouvelles. Ces quelques histoires cruelles pour nous caler
la cervelle durant la disette.

13 euros

Cf un compte rendu exhaustif de ce livre sur le site Eireann :

http://eireann561.canalblog.com/archives/2008/01/25/7689477.html

Cf également, pour en savoir davantage, dans la revue "Hopala !" n°23 (juillet 2006), pages 60 à 64,
l'article intitulé : "La difficile alchimie des mots. Dialogue avec un éditeur".

"Pour épouser définitivement ce nouveau monde, elle s'était fait tatouer un papillon sur l'épaule gauche et, pour garder une assurance dans le monde d'avant, une Sainte Anne sur la cuisses droite. Du catholicisme à l'échangisme, le saut, du coup, paraissait jouable." (extraits)

"Une cocasserie imaginative qui n'épargne personne" Y. Pelletier Ouest-France 19/11/2004

"Kergrist manie les mots avec humour et truculence. Certains passages pourraient figurer dans une anthologie par la précision et l'acuité du propos"; J.J. Monnier, Le Peuple Breton, novembre 2004

"...canon à eau nitratée, orgues de Staline en ut majeur, lance roquettes pour chiens, bombes lacrymo sans gêne, envolées lyrico-acides, portraits à la sulfateuse..." Harvey Killian Télégramme 30/11/2004

"... Fellini chez les Bretons ! ... le fils spirituel de Villiers de l'Isle Adam !... le James Joyce de l'Argoat profond !" Edmond Rébillé Trégor FM (3 émissions sur ce livre en janvier 2005)

Une partie de cet ouvrage donnera naissance à un spectacle (de même titre), disponible début 2006 (cf la rubrique "à l'affiche").

Paru en février 2008 chez Keltia Graphic  (épuisé)

essai/mémoires

couverture

15 euros

175 pages + cahier de 65 photos

Préface de Jean Bernard POUY

QUATRIÈME DE COUVERTURE : Qui n’a croisé un jour, en Bretagne ou ailleurs, le clown atomique, le clown agricole, le conteur de Saint Lubin ou des bagnards de Glomel ? Près d’un demi-siècle que Kergrist, l’inventeur de « la gavotte du cochon », nous fait rire ! Pourquoi a-t-il enlevé son nez rouge ? Pourquoi a-t-il quitter la scène ?
    Il nous livre ici ses enthousiasmes et ses colères, ses blessures et ses secrets. Il démonte aussi au passage quelques rouages de la machine à créer les larbins car, pour Kergrist, « l’art naît de la résistance » (A. Gide).
    Ces dizaines d’années d’un parcours atypique appartiennent à l’histoire de la Bretagne. En lisant ces pages, beaucoup y trouveront leurs propres repères.

photo de couverture : Béatrice Legrand


 CRITIQUES :

-SITE EIREANN :
http://eireann561.canalblog.com/archives/2008/03/19/8385190.html

-OUEST-FRANCE (page Bretagne, 25/02/2008)
"Sorti de la scène, Kergrist vide son sac... sa "Chronique brouillonne" témoigne d'un mordant intact, comme à l'époque où il flinguait les lobbies, nucléaire et agricole." Alain Guellec

-LE CRI DE L'ORMEAU (Mars 2008)
"Ça balance un maximum, et certains risquent de ne pas aimer. Surtout le premier chapitre, intitulé "sus aux cons", dont je ne vous parlerai même pas." Patrice Verdure

-ARMOR MAGAZINE (Avril 2008)
"Depuis son entrée sur la planète, il y a 68 ans,sous le nom bien breton de Hamon, il n'a pas pris le temps d'être triste, même si la vie ne lui fut pas toujours drôle. Ce fut d'abord un enfant pieux et sage, mais il devint vite le loustic qu'il a toujours été."

-LE TÉLÉGRAMME (30/03/2008)
"Quand Jean Kergrist écrit ses souvenirs, ça décoiffe ! Le comédien de Glomel, qui a mis fin à sa carrière de clown atomique, agricole etc... ne manie pas la langue de bois. Se qualifiant lui-même d'"emmerdeur", il égratigne avec une bonne humeur non dissimulée les magouilleurs, les pleutres et les parvenus de tous poils."Sus aux cons" : telle est la devise de cet artiste généreux qui, confie-t-il, a pour lointains ancêtres Duguay-Trouin et Villiers de l'Isle Adam. Vivifiant ! "  Yves Loisel

-LE PENTHIÈVRE (13/03/2008)
"Certains ont besoin d'explosifs pour se faire entendre. Lui, un nez rouge et quelques accessoires lui ont suffi... Dormez en paix, braves gens, le clown veille toujours". Jean-François Boscher

Paru en août 2001  (épuisé)

(texte Jean Kergrist, dessins de Nono)

aux éditions "DES DESSINS ET DES MOTS" (Bannalec-29)

"En 25 ans de Bretagne buissonnière, les chemins du clown-conteur Jean Kergrist et du dessinateur Nono se sont souvent croisés. Les voici aujourd'hui attelés à la même carriole, chevaux fougueux posant au grand galop leurs bombes hilarantes aux tournants de nos voies charretières."

140 pages, 13 E

35 conseils pour accompagner les 35 heures. Conseils de réussite sociale à prendre un à un, à jeun, chaque matin.

Ne pas dépasser la dose prescrite.

Risque d'effets secondaires (hyper hilarité)

 

 

Un collectif de nouvelles (paru en mai 2001)

Douze auteurs (dont Jean Kergrist) volent à votre secours. Au risque de leurs peaux, ils ont exploré par tous les temps ces bretagnes qui crachent. Ces Bretagnes que l'on vous cache...

À l'arrivée : douze nouvelles mettant les pieds en des chemins buissonniers d'une Bretagne impertinente.

les 6.000 premiers exemplaires étant déjà épuisés, l'éditeur a procédé à un deuxième tirage.

éditions Baleine

distribution le Seuil

305 pages

12,20 euros